EAUX DU MONTCALM

Une « eau parfaite », qui fait du bien aux consommateurs et à l’environnement

 

Puisée à 1 100 m d’altitude depuis près de 30 ans

Ayant commencé son activité au début des années 1990, cela fera bientôt trois décennies que la Société d’Exploitation des Eaux du Montcalm embouteille une eau de qualité qui trouve sa source dans la vallée du Montcalm (qui culmine à 3 077 m), situé au coeur du Parc Naturel Régional des Pyrénées Ariégeoises. Une eau disponible exclusivement dans le circuit des magasins spécialisés, en packs de 6 bouteilles de 1,5 litre ou 0,5 litre et en bidons de 5 litres. La volonté de l’entreprise est de proposer cette eau de montagne, 100 % minérale et naturelle et aux qualités exceptionnelles, au plus grand nombre, via le réseau bio. Les choix qu’elle a faits ainsi que le message qu’elle veut faire passer y trouvent une résonnance toute particulière. Des choix comme l’utilisation de bouteilles en PET recyclé, avec des bouchons transparents (et donc sans colorant), un transport optimisé, et un message qui porte sur la composition particulièrement remarquable de cette eau, mise en valeur par les recherches du professeur Vincent, que la Société d’Exploitation des Eaux du Montcalm prend à coeur de faire connaître.

Une eau « parfaite », mise en bouteille à la source

Pour l’ingénieur hydrologue Louis-Claude Vincent (1906-1988), qui avait établi, avant la Seconde Guerre mondiale, après des années de recherche, qu’il existait une lien entre la qualité des eaux et l’état sanitaire des populations, l’eau du Montcalm était « l’eau parfaite ». Selon les conclusions de la technique qu’il avait alors mise au point, dite « bioélectronique de Vincent », cette eau répond en effet parfaitement aux trois critères fondamentaux qui rendent certaines eaux, selon son expression, « biocompatibles », soit parfaites pour l’organisme et la santé. Trois critères qui sont un pH qui doit être légèrement acide (compris entre 6 et 7, Montcalm est à 6,8), un caractère réducteur avec un Rh2 compris entre 25 et 28 (Montcalm est à 25,95) et enfin un Rô, image de la minéralité qui doit être supérieur à 6000 Ohms, c’est-à-dire contenir moins de 120 mg de résidus secs par litre, Montcalm possédant une résistivité de 30 000 Ohms, soit un résidu sec de 32 mg par litre.

De fait, l’eau du Montcalm est une des eaux les plus faiblement minéralisées d’Europe. Cette teneur faible est le résultat d’une captation directement en altitude. L’eau ne parcourt donc qu’un court chemin dans la roche et n’a pas le temps de se charger en minéraux. Grâce à cela, elle hydrate le corps sans le surcharger. En effet, dès lors que l’on a une alimentation équilibrée et aucune carence (ce qui est le cas de la majorité de la population), les nutriments apportés par les eaux fortement minéralisées font travailler les reins et le système digestif uniquement dans le but de les éliminer. L’eau agit plus par ce qu’elle emporte que ce qu’elle apporte. Il vaut donc mieux permettre à l’organisme de faire son travail d’élimination en toute quiétude plutôt que d’apporter de l’excédent qui devra être éliminé en sollicitant outre mesure nos organes.

Au final, la Montcalm facilite la digestion et l’élimination des toxines dans l’organisme, et elle convient pour la préparation des aliments des nourrissons dans leurs premiers mois de vie – une allégation strictement encadrée – et à celle de leurs biberons. Elle est également parfaite dans le cas d’un régime pauvre en sodium. Toutes ces qualités sont directement issues de l’origine géographique de cette eau, issue d’une nature intacte, filtrée à travers des roches qui se sont mises en place il y a plusieurs millions d’années et embouteillée à la source, parfaitement préservée.

Un souci élevé et permanent de qualité et de sécurité

Des contrôles permettent de vérifier la qualité de l’eau depuis l’amont (à la source) jusqu’à l’aval (à l’embouteillage). S’il y a le moindre doute pendant son transfert vers le site, les nombreux capteurs en place permettent l’alerte immédiate de l’équipe.

Concernant l’embouteillage proprement dit, des contrôles sont faits chaque heure, sur des critères relatifs à l’aspect, au contenu des bouteilles et aux bouteilles elles-mêmes, aux étiquettes, aux packs, etc. Ces tests horaires quotidiens sont faits sur la ligne d’embouteillage et sont complétés par une centaine d’analyses également quotidiennes de la conformité microbiologique, réalisées par un laboratoire interne. L’eau est de plus contrôlée par un laboratoire externe. Aucune bouteille n’est libérée avant le résultat de ces analyses : pas de flux tendu chez Montcalm, avec les risques que cela pourrait supposer. Une immense échantillothèque a été mise en place, de façon à garantir une traçabilité à toutes les étapes.

Tout ceci est bien entendu géré par un système très complet de management de la qualité portant sur la documentation, la sensibilisation du personnel sur les points relatifs à l’hygiène, aux contrôles du produit sur ligne et en laboratoire, etc. La méthode HACCP est appliquée pour assurer la qualité alimentaire du produit. A cela s’ajoute aujourd’hui, avec l’émergence de nouvelles menaces, l’installation de mesures dites « Food Defense », qui permettent d’analyser les risques liés à d’éventuels actes de malveillance et de mettre en place une politique de sécurisation du site, avec des mesures de prévention préalables (MPP) ou en cas d’urgence.

Enfin, chaque année, la Société d’Exploitation des Eaux du Montcalm se soumet à un audit IFS (International Food Standard) réalisé par un tiers expert, qui a confirmé son classement au niveau « supérieur » depuis plus de 10 ans, ce qui signifie qu’elle répond à plus de 95 % des critères de ce référentiel. En 2016, la note a même été de 99,01 %.

Quand embouteiller et commercialiser de l’eau devient un acte écologique

Si l’eau du Montcalm est donc « parfaite », avec des qualités optimales pour les consommateurs, confirmées et contrôlées par un contrôle qualité de très haut niveau, son embouteillage et sa commercialisation s’accompagnent également de critères écologiques et environnementaux remarquables.

La Montcalm, permet ainsi de « consommer intelligent », grâce à une démarche écologique et durable qui concerne le matériau utilisé pour les bouteilles. Celles-ci sont en PET recyclé, une technique sur laquelle l’entreprise a été la pionnière en 2010. Ce PET recyclé est conçu par un plasturgiste à la pointe de son domaine, qui récupère les bouteilles en PET usagées pour les retransformer en matière première immaculée, sans le moindre composant susceptible de migrer dans l’eau. Cette matière est alors réutilisée pour former de nouvelles bouteilles aussi propres et solides qu’elles le seraient à partir de PET traditionnel. Grâce à cela, à nombre égal de bouteilles produites, la Société des Eaux du Montcalm a réduit l’empreinte carbone de 48 % par rapport à une bouteille habituelle.

Les bouteilles présentent par ailleurs un petit détail qui semble minime mais qui apporte aussi sa pierre à l’édifice de produits à l’impact écologique réduit : les colorants ont été supprimés des bouchons qui sont maintenant transparents. Et produire durablement passe aussi par l’économie de l’énergie : suite à un investissement réalisé en 2016, la consommation électrique a été réduite de 10 % en 2016 par rapport à 2015. Une réduction qui vient s’ajouter à la baisse de 19 % qui avait déjà pu être réalisée entre 2014 et 2015.

Enfin, les transports ne sont pas oubliés pour réaliser des gains économiques et énergétiques. Pour acheminer les palettes de bouteilles vers la région parisienne, c’est l’acheminement par voie ferrée qui est utilisé. Quant au transport par camion, il est optimisé avec un chargement à la limite maximale autorisée.

L’eau minérale naturelle ne peut pas être reconnue par un label bio. Mais elle peut être « pensée bio », avec un ensemble de critères, de la source jusqu’au consommateur final, qui font qu’une marque peut être parfaitement en phase avec la philosophie et la vision du circuit spécialisé. Depuis l’origine, c’est le cas de Montcalm, l’eau minérale naturelle des Pyrénées ariégeoises.